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Pierre DENIZIOT - Page 24

  • Réunion de présentation à Michel Barnier des propositions de HANDI POP' pour les élections européennes

    Chers Amis,
    HANDI POP' vous invite à une grande réunion sur le thème du handicap pour les élections Européennes en présence de Michel BARNIER, tête de liste aux européennes pour l’UMP en Ile-De-France. HANDI POP’ présentera à cette occasion ses propositions sur le handicap et l’Europe, ce qui ne s’est jamais fait dans les précédentes élections européennes. C’est une grande première et qui inscrit pleinement HANDI POP’ comme force de proposition dans notre famille politique.


    MERCREDI 25 MARS 2009
    à partir de 18h30
    au Siège de l'UMP
    55, Rue La Boétie
    75 008 PARIS
    dans la salle du rez de chaussée.


    Le nombre de places étant limité, merci de nous faire part de votre présence par mail à handipop@u-m-p.org avant Mardi 24 mars 18h. Pour information, 2 interprètes en LSF (Langue des Signes Française) assureront la traduction jusqu'à 21h30.
    Nous comptons sur votre mobilisation!

  • Lancement de la campagne des Européennes en IDF avec Michel BARNIER et Rachida DATI à Maisons-Alfort

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    J’étais hier à Maisons-Alfort pour le lancement de la campagne électorale des européennes en Ile-De-France autour de Michel BARNIER et Rachida DATI. Au cours du séminaire réunissant les cadres de notre parti politique, j’ai pu observer l’émergence de thèmes nouveaux qui n’avaient jamais été mis en avant dans ce type de campagne. J’observe également la volonté de Michel BARNIER de ré-introduire en Europe la politique à l’image de ce qu’a pu faire notre président de la république durant la PFUE. Mais, de la politique pour faire quoi au juste ? Et bien une Europe politique qui protège, qui agit et qui s’affirme, tout simplement.

     

     

    barnier 1.jpgLe 7 juin, un seul tour départagera les différentes listes. Traditionnellement peu favorables aux partis en place, les listes de la majorité obtiennent bien souvent de piètres scores à l’issu d’un scrutin détourné de son sens et « nationalisé » par les oppositions. Cette fois-ci, on peut penser que l’UMP arrive dans cette campagne avec une vraie volonté de parler d’Europe. Pour nous, ce n’est pas un crève-cœur que d’aborder cette échéance électorale. Notre parti à de nombreux projets à proposer et non pas différentes visions contradictoires comme le PS. J’ai l’impression que cette fois-ci, les Français ne seront pas dupes de la ritournelle anxiogène des europhobiques de droite comme de gauche.

     

     

     

    C’est le bon moment pour réconcilier les français et l’Europe, c’est le bon moment, enfin, de faire une vraie campagne pour parler d’Europe. N’ayant pas de vision commune sur l’Europe, les socialistes feront tout pour prendre en otage cette campagne électorale pour enfermer les débats dans une vision hexagonale. Ne comptons pas sur leur esprit de responsabilité

     

    Voir ici le site de la campagne de l’UMP pour les Européennes en Ile-De-France

  • Réforme des collectivités locales : Ne criez pas avant d'avoir mal !

    balladur.jpgA entendre la voix cassée et fatiguée d’Edouard Balladur, cette semaine, au journal de 20h de TF1, personne n’oserait dire qu’il n’a pas présidé, animé et débattu dans la commission qu’il avait à charge. Sa voix était claire, néanmoins, quand il a fustigé les bobards… Sa commission fut pour autant, exemplaire et rendra des propositions concrètes assorties des remarques de tous ses membres, mêmes opposés à certaines préconisations. Des débats d’une grande qualité diffusés sur LCP-AN et Public Sénat pour notre plus grand plaisir. Alors que la commission n’a pas encore rendu son rapport, la politique politicienne de tous bords voudrait préempter le débat. Ne criez pas avant d’avoir mal (dis-je souvent à mes patients qui n’auront pas mal). Vous trouverez ci-dessous l’interview d’Edouard BALLADUR au Figaro.

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    LE FIGARO. - Que vous inspirent les premières réactions au rapport du comité ?
    Édouard BALLADUR. - À ce degré de mauvaise foi, elles m'inspirent une certaine surprise, aussi accoutumé que je sois à ce que sont les débats publics. Ce qui me frappe le plus, c'est qu'on puisse accorder crédit à des rumeurs colportées par les uns et les autres, sans avoir lu le texte du rapport. J'évoquerai les reproches tendant à accréditer l'idée que nous aurions voulu changer le régime électoral applicable aux élections régionales avec pour seul objectif de reconquérir les Régions aujourd'hui dirigées par la gauche. C'est faux. Il est expressément écrit dans le rapport que rien ne change pour les élections de 2010 et que la réforme du mode de scrutin n'entrera en vigueur, si on la décidait, qu'à partir de 2014.

    L'émoi sur le devenir de certaines Régions est-il justifié ?
    Sur cette question précise, la position du comité est simple et claire : nous considérons qu'il y a trop de Régions et qu'il vaudrait mieux qu'elles fussent plus puissantes. Pour autant, il ne nous appartenait pas de préconiser tels ou tels rapprochements qui, dans notre esprit, seraient fondés sur le volontariat des conseils élus des Régions.

    Pourquoi cette agitation autour du rapport ?
    Tout simplement parce que cette réforme est très difficile, beaucoup plus difficile que celle de la Constitution, puisqu'elle met en cause beaucoup d'intérêts et de positions de pouvoir.

    Pierre Mauroy, membre du comité, déplore «une occasion manquée»…
    Le comité a travaillé dans une ambiance bonne, cordiale, sereine, marquée par la considération réciproque. Nous sommes d'ailleurs parvenus à l'unanimité sur 16 des 20 propositions du rapport. Il y en a quatre que les représentants de la gauche, Pierre Mauroy et André Vallini, n'ont pas voté. Inutile de se le dissimuler, ce sont quatre propositions importantes, portant sur le maintien aux seules communes de la clause de compétence générale, le Grand Paris, l'élection lors du même scrutin des conseillers départementaux et régionaux, le transfert de compétences départementales aux « Métropoles » dont le rapport propose la création.

    Quelles sont les lignes directrices du comité ?
    Il y en a quatre : plus de puissance pour les collectivités locales, plus de démocratie, plus d'efficacité, plus de diversité. C'est à ces objectifs que répondent la création de « Métropoles », l'élection au suffrage universel des conseillers intercommunaux et de ceux des « Métropoles », une meilleure coordination des départements et des Régions, une meilleure définition des compétences pour chaque échelon, le souci que la suppression de la taxe professionnelle ne porte pas atteinte aux moyens des collectivités, la création du Grand Paris.

    Le débat annuel au Parlement sur les finances locales n'est-il pas une atteinte à l'autonomie des collectivités locales ?
    Il s'agit de choisir le sens de la démocratie. Je suis tout à fait favorable à la décentralisation, mais il est parfaitement légitime que le Parlement s'en préoccupe, dès lors que les collectivités locales ne perçoivent l'impôt que par autorisation parlementaire. Je souligne qu'il n'y a pas de risque d'inconstitutionnalité dès lors que cet objectif n'est pas contraignant. Nous avons d'ailleurs pris soin que l'intégralité de nos propositions ne nécessite aucune révision de la Constitution.

    Une réponse institutionnelle peut-elle être apportée à la crise aux Antilles ?
    Nicolas Sarkozy a proposé des États généraux de l'outre-mer. Il est probable qu'à cette occasion la question de l'avenir du statut des départements et des régions d'outre-mer sera posée. C'est une grande question qui nous invite à réfléchir aux institutions de l'outre-mer français, dans le respect, bien entendu, du principe d'égalité. En attendant que se tiennent ces États généraux, peut-être serait-il préférable que toute décision modifiant le statut actuel dans telle ou telle Région de l'outre-mer soit suspendue. Je pense au statut de Mayotte, dont la modification pourrait peut-être être reportée (Une consultation populaire est prévue le 29 mars à Mayotte, NDLR), chacun pourrait le comprendre, jusqu'à ce qu'on y voie plus clair sur l'ensemble des institutions d'outre-mer, mais je sais que cela pose le problème du respect du calendrier déjà fixé. Le comité ne s'est pas prononcé sur ces questions et s'est borné à proposer qu'une Assemblée unique se substitue aux conseils régionaux et aux conseils généraux qui régissent le même territoire.

    Selon vous, quelles propositions du rapport seront retenues par le président de la République ?
    Pour la révision constitutionnelle, il a retenu 80 % de nos propositions. Il faut lui laisser le temps de prendre connaissance de nos conclusions. Mais ces réformes doivent être engagées dès maintenant, il n'est que temps de décider. Il y a cinquante ans qu'on en parle, il faut passer aux actes. En même temps que mon rapport, je vais adresser au président de la République, par lettres distinctes, deux projets de loi-cadre, le premier sur le droit commun et le second sur le cas particulier du Grand Paris. Proposer deux projets distincts permet un échelonnement des concertations nécessaires et, je l'espère, un apaisement. Alors, le premier texte pourrait être discuté dès cet automne.

    La crise va-t-elle compliquer votre tâche ?
    Elle ne la facilite pas. Mais une des idées justes que défend Nicolas Sarkozy, c'est qu'il ne faut pas arrêter les réformes. Réformer les collectivités locales est une façon de préparer l'avenir dans un champ essentiel de la vie publique et de la vie économique. On pourra toujours nous expliquer qu'au moment où nous enregistrons près de 100 000 nouveaux chômeurs, il y a d'autres priorités. Mais on doit aussi préparer l'avenir et s'employer à faire comprendre les enjeux de cette réforme ; elle est essentielle pour notre pays, sa compétitivité, sa force économique, sa cohésion.

    En prônant la concertation, ne prenez-vous pas le risque qu'il ne se passe rien du tout au final ?
    Préféreriez-vous que je recommande la décision autoritaire immédiate ? Mon souhait est que le législateur décide au terme de la concertation. Quant à moi, je reprends ma liberté de parole, j'espère que nous éviterons le conservatisme et l'inertie. Quant au Grand Paris, qu'on demande aux Franciliens par référendum s'ils sont satisfaits de la situation des transports, du logement. Doutez-vous de la réponse ? Il est grand temps de sortir de la confusion.

    Êtes-vous optimiste sur l'aboutissement de la réforme ?
    Ce serait une belle réforme, une grande réforme. Jusqu'à présent, un effort louable de décentralisation a été engagé, mais on n'est pas allé jusqu'à son terme. On ne le pourra que si les collectivités locales sont plus puissantes. C'est notre but. Bien sûr, les premières réactions devant l'ampleur de notre projet ont été la surprise. Mais nous allons nous appliquer à expliquer, à clarifier et à débattre. Je remets le projet de loi à Nicolas Sarkozy qui nous reçoit jeudi. Ensuite, au gouvernement et au Parlement de décider.

  • BBI de février : le handicap, c'est l'affaire de tous!

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    Le BBI de février fait une large place au handicap. En effet, la nouvelle équipe municipale a "changé de braquet" sur la question et c'est désormais une action globale, transversale et politiquement intégrée du handicap qui se dessine dans notre ville. C'est parce que le Député-Maire Pierre-Christophe BAGUET, mes collègues (maires-adjoints et conseillers municipaux délégués), les services de la ville et la mission handicap s'engagent, jours après jours, que moins d'un an après l'élection de la nouvelle équipe municipale, nous enregistrons déjà de réelles avancées. Beaucoup, biensûr, reste à faire, grâce à vous, avec vous tous.

    Voir ici le dossier Handicap du BBI

    Voir ici l'intégralité du BBI de Février

  • Picasso et les Maîtres

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    J’étais hier soir à l’exposition « Picasso et les Maîtres » aux galeries nationales du Grand Palais. Expo « phare » de la rentrée, je n’ai pas été déçu. Hormis une organisation approximative voire absente, la quasi-impossibilité de recul physique sur les œuvres et des murs grisâtres peu enclins à mettre en valeur les peintures, cette expo est d’une richesse incroyable.

     

     

     

    picasso1.jpgOn y voit un Picasso en évolution, entre classicisme et académisme, allant de natures mortes aux portes de Cézanne jusqu’à des portraits proches de ceux du Greco. On y voit le cubisme formel allait s’égarer dans le pointillisme de Seurat. On y voit le passage étroit entre impressionnisme et fauvisme que tente de prendre Picasso pour s’affranchir des codes et des canons. Et puis, l’on goûte à une libération de son art dans des œuvres dérangeantes, aux couleurs explosives et aux lignes déformantes. Les hésitations, les péripéties et l’évolution d’un siècle résumées dans l’évolution d’un génie créatif. Traits virils, érotisme assumé, spontanéité et vivacité du geste et provocation irriguent cette exposition qui assume délibérément l’effet de contraste avec les maîtres. En effet, dans cette fureur, comme balisant les méandres de l’esprit d’un artiste tourmenté par son siècle, on retrouve avec une certaine émotion les œuvres des grands maîtres hors du temps. Le Greco, Renoir, Manet, Le douanier Rousseau, Toulouse-Lautrec, Vélasquez,  Poussin, Zurbarah, Goya etc… Rien que ça !

     

     

     

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    Une expo d’une richesse incroyable à laquelle je vous conseille vivement de vous presser. Vous avez jusqu’au 2 Février mais la galerie est ouverte 24h sur 24 désormais…     

     

     

  • Conseil National de l'UMP du 24 Janvier

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    je serai ce samedi 24 Janvier présent au Conseil National de l'UMP. Il sera retransmis en direct sur le site de l'UMP : http://www.u-m-p.org/

    Les interventions seront accessibles aux sourds et malentendants. Une fois encore, HANDI POP', mouvement associé qui fédère les personnes concernées par le handicap à l'UMP dont je suis le vice-président, se réjouit de la prise de conscience de nos responsables, concernant la nécessité de rendre l'information accessible à tous, et des actions concrètes sur lesquelles ont débouché nos demandes.

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