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Je vous invite à lire ICI l'article du magazine Entreprendre qui passe en revue les 10 initiatives majeures qui vont changer notre pays. Parmi ces 10 projets enthousiasmants figure l'Ile Seguin. Ci-dessous les vidéos de la future cité musicale qui prendra place sur l’île aux côtés d'autres projets tout aussi exceptionnels.
Cité Musicale de l'île Seguin (3D) par PCBAGUET
Cité Musicale de l'île Seguin "Naissance d'une... par PCBAGUET
Mes chers amis,
Nous voici donc rendu à l'instant de vérité. C'est à la croisée des chemins, à l'aune de ce premier tour des élections présidentielles françaises que je vous écris. C'est le peuple de France qui va décider de l'avenir de notre pays. C'est vous qui allez voter.
C'est dans la brume, entre quelques sondages bons ou mauvais, contradictoires, se perdant en conjectures, que les français vont se rendre aux urnes avec le destin de notre nation au bout de leur bulletin de vote.
Me concernant, vous imaginez naturellement mon vote. Je voterai pour Nicolas SARKOZY pour d'innombrables raisons. C'est sans doute discutable pour certains, mais j'ai la conviction qu'il nous a protégé de la crise, qu'il a incarné sur la scène internationale une France Forte, qu'il a dynamisé nos universités, qu'il a augmenté de 25% l'AAH, qu'il a modernisé notre pays, qu'il a tenu la place de la France en Europe, qu'il a "relifté" de manière positive une fonction présidentielle désormais au contact des français et du quotidien, qu'il a eu le souci de moderniser l'organisation des collectivités territoriales, qu'il a posé les bases d'une politique du développement durable, qu'il a pratiqué l'ouverture politique, qu'il a maintenu une haute idée de la nation et de l'identité française, qu'il porte une politique rigoureuse en matière de dépenses et de réduction de la dette, qu'il a mené une politique sécuritaire adaptée, qu'il n'a plié devant aucun corporatisme, etc... etc...
C'est une liste à la Prevert, partielle, mais aussi un échantillon d'actions qui conforte mon engagement politique et mes ambitions pour mon beau pays de France.
J'ai la conviction qu'il y a une France revêche, grognarde, qui est prête à faire mentir les sondages. J'ai la certitude que les indécis ou les abstentionnistes ne sont pas si éloignés que cela de la raison. Je veux croire que le second tour apportera aux français un débat plus clair, plus comparatif et plus concret. Je suis persuadé que le combat ne fait que commencer.
Ce dimanche, c'est un rendez-vous incontournable de la mobilisation de notre famille politique. Militants, sympathisants, élus, membres de notre famille politique, c'est maintenant qu'il faut monter en première ligne, porter un message d'espoir, de vérité et de responsabilité. Le but, ce n'est pas de faire mentir les commentateurs, de tourner en dérision des médias partisans, de ridiculiser des socialistes se distribuant des postes avant notre vote. Le vrai but, c'est de faire gagner la France et les Français.
C'est une campagne de France dont je suis le plus simple des fantassins. C'est un pont d'Arcole qu'il nous faut traverser dimanche, sous la mitraille bien pensante médiatique et sondagière. La victoire n'est pas suspendue au sacrifice d'un colonel Muiron mais dépend de notre capacité de persuasion, d'entraînement, de mobilisation, de courage politique.
Aux urnes, citoyens, l'étendard de nos valeurs haut porté!
Bien à vous,
Pierre
Discours de Nicolas Sarkozy à la Concorde par NicolasSarkozy
L'intervention du Président de la République Nicolas Sarkozy a eu le mérite d'apporter une grande clarté sur les principaux sujets d'actualités et d'avenir. Le Président ne peut se permettre de reprendre, au jour le jour, les égarements, les manipulations oratoires, les polémiques fabriquées, les exagérations. Une intervention comme celle-ci permet de remettre les pendules à l'heure et de rappeler, un constat de réalité plus ou moins partagé mais en tous cas non fantasmé. De plus, ce type d’intervention nourrit ce lien si direct entre le Président de la République et les Français.
Reconnaître les déviances involontaires du débat sur l'identité nationale, rappeler le bon sens minimal qui doit prévaloir dans la gestion des flux migratoires, réaffirmer la sécurité comme l'un des premiers droits, l'incontournable façon de réformer notre système de retraite, l'engagement déterminé et réaffirmé en matière d'emploi, la simplification du droit de l'urbanisme, le rapprochement des décisions de justice et de la population, le co-développement, le refus d'une alliance avec le FN etc... Vaste tour d'horizon qui donne le tournis mais aussi la mesure des responsabilités présidentielles et de ce qui fait et fera notre quotidien. Autant de thèmes qui méritaient un effort de pédagogie assuré avec conviction et de manière pausée par Nicolas Sarkozy.
Sujet que j'attendais tout particulièrement : la Dépendance. Le Président a annoncé sa volonté de créer une branche du 5eme risque. Suite à des états généraux qui réuniront tous les financeurs et notamment les Conseil Généraux, l'APA sera refondée à l'horizon 2012. Option assurantielle, augmentation de la CSG, prise sur les successions, toutes les pistes semblent ouvertes. Seul bémol selon moi, c'est l'absence inquiétante du thème du handicap dans ce qui fut évoqué par le Président de la République. Cet immense travail ne doit faire l'impasse sur une grande cause de dépendance à savoir le handicap, tout autant que le grand age...
Hormis cette nuance (qui j'espère, peut évoluer et je m'y engagerai avec Handi Pop'), cette intervention était très positive, pédagogique et fixant un cap réformiste qui fera garder à la France son mouvement indispensable.
Bilan ou pas, l'heure est au point d'étape en regardant ce qui a été fait et ce qu'il reste à faire. Dans le tumulte des sondages, de médias qui valent ce qu'ils valent, d'une conjoncture particulière au niveau européen et mondial, regardons un peu le travail initié par notre président de la République Nicolas Sarkozy. Vous parlez de style, je vous parle de résultats. Vous parlez de sentiment, je vous parle de contexte. Vous parlez de déception, je vous parle d'espoir. Vous parlez d'attente, je vous parle d'une France sur les rails, dont la marche sous le signe de la réforme, prépare le meilleur des avenirs. Voir ICI 3 ans d'actions pour sortir la France de la crise, vouloir une France plus forte, construire une France moderne, bâtir une France plus juste. Aucun regret. Juste l'envie d'aller encore plus loin...
Devant le parlement Israëlien, le président de la république, Nicolas SARKOZY, a tenu un discours que je salue. Depuis 1982, avec François Mitterrand, aucun responsable politique français de premier rang n’avait eu l’occasion de s’exprimer. C’était donc un discours très attendu par la France, le proche orient et la communauté internationale. Notre président, dans son franc-parler qu’on lui connaît est donc intervenu sur l’essentiel : la PAIX. Moyennement au fait de tous les tenants et aboutissants du sujet, je me suis toujours demandé l’intérêt d’être pro-israëlien ou pro-arabe… Un peu naïvement, j’ai toujours pensé qu’il fallait être « pro-paix », tout simplement. On ne fait pas la paix en soutenant un camp. On ne fait pas la paix contre mais AVEC.
Jérusalem, symbole des déchirements religieux passés, a sans doute vocation à être symbole de la paix retrouvée et du rassemblement. C’est pourquoi, contrairement à des déclarations un peu impulsives de part et d’autres, je pense que Jérusalem a vocation à être terre de rassemblement entre les religions du Livre. Notre président a donc raison de vouloir Jérusalem où tous les lieux de cultes sont accessibles pour tous dans une ambiance pacifiée.
Moins applaudit par la Knesset, le président a appelé à l’arrêt de la colonisation, condition effectivement incontournable à la recherche de la paix. Il n’a cependant pas oublié de rappeler à son devoir le peuple palestinien de combattre avec engagement le terrorisme.Je suis heureux que Nicolas SARKOZY ait souligné que la France sera toujours aux côtés d’Israël pour défendre son autonomie et sa liberté. Je suis encore plus heureux d’entendre que la France est à la disposition d’Israël ET de la Palestine pour chercher la paix que le monde entier attend.
Je pense effectivement qu’il est ANORMAL que des enfants naissent avec d’emblée, pour seul horizon, l’objectif de venger leurs pères, leurs mères et leurs familles des agressions issues d’une incompréhension et d’une non-communication invraisemblables. Au grès d’un chaos qui n’a que trop duré, d’un sang qui n’a que trop coulé, c’est à la volonté d’Israël que notre président appelle, c’est à la responsabilité de l’état palestinien, et c’est à l’abolition des tournures d’esprit pro-palestinien ou pro-israëlien. PRO-PAIX, c’est l’état d’esprit le moins évident mais il est indispensable et j’y souscris.