Avec Frédéric Lefebvre, Valérie Pecresse, Pierre-Christophe Baguet, Roger Karoutchi, André Santini
Avec Thierry Solère et Rama Yade
Une candidate en campagne!
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Avec Frédéric Lefebvre, Valérie Pecresse, Pierre-Christophe Baguet, Roger Karoutchi, André Santini
Avec Thierry Solère et Rama Yade
Une candidate en campagne!
C’est avec tristesse que je constate l’inertie et la lâcheté du parti socialiste sur la question de l’identité nationale. Oui, ouvrir ce débat sur l’identité nationale, c’était ouvrir la boîte de Pandore. Oui, donner la parole à la société, c’était risquer d’avoir à entendre des réflexions peu républicaines, peu démocratiques, peu réfléchies. C’est le principe du débat, tout simplement. L’intérêt salutaire, c’est d’entendre les fausses croyances, les idées reçues, les a priori, les clichés, pour mieux les discuter et les désarmer, dans un esprit constructif. Eric Besson a fait le job, ce soir, sur France 2, en mettant en perspective et avec humanité la question de l’immigration et de l’identité nationale sur la table. Il a démontré avec simplicité l’impasse d’un Front National basant sa communication sur la peur, la terreur, sur la peur de l’étranger.
Il a aussi démontré que, à l’image de Marine Le PEN, les pseudo-diseurs n’étaient pas les grands faiseurs… Marine LE PEN, que je croyais redoutable, fut beaucoup plus pathétique qu’intéressante. Elle a confirmé une mauvaise foi qui n’apporte rien à personne avec une hypocrisie clairement consternante.
Pour moi, modeste jeune Sarkozyste, faire de la politique autrement, c’est faire face avec conviction au débat d’idée, sans tabou. La reculade de Vincent Peillon (que j’espère ne pas être une reculade du PS), c’est tout simplement un aveu d’absence d’idée, de conviction. Soit il n’a rien à dire, soit il assume l’idée peu démocratique de vouloir dicter aux médias quels sont les bons sujets, quels sont les bons intervenants, quel est le bon tempo. Je suis triste de constater que le PS, parti au combien respectable, n’est plus en capacité de parler aux Français et d‘apporter une contradiction constructive à la vie de notre pays.
Avoir peur du débat, c’est un aveu de faiblesse auquel ne cède pas la majorité présidentielle.
Valérie PECRESSE, notre candidate pour les régionales en mars 2010 nous fait l'honneur de venir à notre rencontre Dimanche 17 Janvier sur le marché Escudier à Boulogne-Billancourt.
Donner un nouveau visage à l'Ile-De-France, c'est accorder notre confiance à Valérie PECRESSE pour une région plus ambitieuse, plus solidaire, plus proche du quotidien. La rupture doit se faire avec les 12 ans de léthargie de l'exécutif socialo-écolo-communiste. Avec vous, avec Valérie, donnons à l'Ile-De-France un véritable destin!
J’étais jeudi soir au siège de l’UMP aux côtés de Valérie Pecresse à l’occasion d’une réunion sur la stratégie internet dans la campagne des régionales. Valérie dispose d’ores et déjà d’un arsenal web 2.0 tout à fait intéressant. Mis à part le classique site de campagne (avec projet, agenda, échos de campagne), on retrouve un espace participatif, ainsi que le réseau social IDForte. Par ailleurs, Valérie mène également campagne sur Facebook et biensûr twitter. Notre campagne internet en IDF pour les régionales constitue un véritable changement dans la façon de préparer une échéance électorale et de s’engager dans un combat politique. Prenons des notes, cela servira pour d’autres échéances…
C’était le samedi 25 octobre dernier, j’intervenais en binôme avec Jean Sarkozy à Clichy sur « la discrimination positive ». En préambule à son intervention, il déclarait à des jeunes aux patronymes maghrébins, à des militants handicapés, à des jeunes issus des « minorités visibles » ceci : « tout comme vous, lorsque je réussirai, je devrai me justifier à cause de mon nom, à cause de ce que je suis ». Juste prémonition qui aujourd’hui veut que Jean, parce qu’il s’appelle Sarkozy, se voit juger sur son nom plutôt que sur ses compétences.
On n’est pas nommé à la présidence de l’EPAD (même par l’Elysée) mais on y est élu. Jean Sarkozy n’a pas été nommé conseiller général de son canton à Neuilly mais élu au premier tour par les électeurs. Jean Sarkozy n’a pas été nommé président du groupe UMP au Conseil Général du 92 mais élu par ses collègues.
Parlons légitimité maintenant. Y a-t-il un âge particulier pour être légitime ? Y a-t-il des noms à éviter pour être légitime ? La confiance de ses électeurs et celle de ses collègues conseillers généraux ne suffit-elle pas à dessiner un minimum de légitimité ? Est-ce qu’être président du groupe de la majorité départementale ne constitue pas une certaine légitimité politique pour assumer justement une fonction de représentation politique à la tête de l’aménagement du quartier de la défense ?
Ce qui me choque sur ce sujet, c’est que des gens, qui n’ont jamais croisé de prêt ou de loin Jean Sarkozy, mettent en doute ses compétences. Je leur demande très sincèrement : « Que connaissez-vous de ses compétences ? ».
Pour le connaître personnellement, je ne vois qu’un jeune homme compétent, formidable orateur, connaissant ses dossiers, n’ayant rien sacrifié à la proximité, impliqué dans le projet du Grand Paris et particulièrement en lien avec les aspirations des élus des Hauts-de-Seine (des plus modestes aux plus illustres).
Il y a la politique « des guignols », il y a le journalisme qui survit sur le dos des « polémiques à fabriquer et entretenir pour faire vendre », il y a aussi la lâcheté de cartonner le « fiston » pour contester son père. Je ne tombe pas dans la victimisation, je considère tout simplement que Jean a les meilleures qualités personnelles et les atouts politiques pour assumer avec succès cette fonction.
La ville présente, du 29 septembre au 31 janvier au musée des Années 30, une exposition événement dédiée à Brigitte Bardot. L’actrice emblématique, qui a tourné plusieurs films à Boulogne-Billancourt, a marqué les arts et plus largement la société des années 50-60. Années d’insouciance, années de « libération » de la femme.
Ma génération n'a pas connu Bardot dans sa grande époque et cet événement est peut-être pour nous l'occasion de prendre conscience de ce que la société française lui doit.
EXPOSITION
Brigitte Bardot, les années « insouciance»
Du 29 septembre au 31 janvier.
Du mardi au dimanche de 11 h à 18 h. MA 30 (musée des Années 30). Espace Landowski - 28, avenue André-Morizet.
Tarif : 11 €. Tarif réduit pour les Boulonnais : 8 €.
Réservation sur www.expobrigittebardot.com, www.fnac.com, www.akouna.com et sur place.