Dans le Parisien de ce matin : La liste UMP Majorité Présidentielle du 92 pour les élections régionales

Conseil National de l'UMP

J’étais samedi matin au Conseil National de l’UMP. La commission d’investiture a proposé les listes de candidats qui s’élanceront à la reconquête de nos régions. Elles furent biensûr validées par les conseillers nationaux mais avec quelques grincements de dents. En effet, comme dans toute constitution de listes, il y avait beaucoup de candidats pour peu de places et il est certain que des personnes de grande qualité n’ont pu y figurer.

 

Toutefois, partir unis, avec toutes les composantes de notre famille politique était absolument indispensable. Pas seulement parce que c’était une volonté du Président de la République mais aussi et surtout par honnêteté envers les électeurs. Contrairement à la gauche, qui part divisée au premier tour des régionales, nous n’aurons pas à changer de listes et de programme entre les deux tours. Nous n’aurons pas à marchander nos valeurs, nos idées et faire le troc des places en position éligible. Respecter les électeurs, cela commence par avoir un programme clair, qui ne changera pas en cours de route. Nous le faisons, d’autres non.

 

Maintenant, tous en campagne! En tant que candidat dans les Hauts-de-Seine, vous pouvez compter sur moi pour être digne de la confiance qui me fut accordée et m'engager à fond dans cette campagne.

 

merci à Michel Delehaye pour la photo

Dans Le Parisien de ce matin: "Valérie PECRESSE en campagne à Boulogne-Billancourt"

 

 

En campagne avec Valérie PECRESSE ce matin au marché Escudier

Avec Frédéric Lefebvre, Valérie Pecresse, Pierre-Christophe Baguet, Roger Karoutchi, André Santini

Avec Thierry Solère et Rama Yade

Une candidate en campagne!

Le site de Campagne de Valérie ICI.

Merci à Jean-Marie, Jean-Marc et Alain pour les photos.

Je serai candidat UMP aux élections régionales de mars prochain en Ile-De-France

 

J’ai l’immense plaisir de vous annoncer que je serai candidat UMP aux côtés de Valérie PECRESSE en Ile-De-France aux élections régionales de mars prochain. Je serai en 23^ème position sur la liste de la majorité présidentielle des Hauts-De-Seine menée par André SANTINI, Rama YADE et Roger KAROUTCHI. J’adresse mes sincères remerciements à toutes celles et tout ceux qui ont soutenu ma candidature.

 

BESSON fait le Job, Marine LE PEN pathétique, Vincent PEILLON et le PS capitulent...

C’est avec tristesse que je constate l’inertie et la lâcheté du parti socialiste sur la question de l’identité nationale. Oui, ouvrir ce débat sur l’identité nationale, c’était ouvrir la boîte de Pandore. Oui, donner la parole à la société, c’était risquer d’avoir à entendre des réflexions peu républicaines, peu démocratiques, peu réfléchies. C’est le principe du débat, tout simplement. L’intérêt salutaire, c’est d’entendre les fausses croyances, les idées reçues, les a priori, les clichés, pour mieux les discuter et les désarmer, dans un esprit constructif. Eric Besson a fait le job, ce soir, sur France 2, en mettant en perspective et avec humanité la question de l’immigration et de l’identité nationale sur la table. Il a démontré avec simplicité l’impasse d’un Front National basant sa communication sur la peur, la terreur, sur la peur de l’étranger.

Il a aussi démontré que, à l’image de Marine Le PEN, les pseudo-diseurs n’étaient pas les grands faiseurs… Marine LE PEN, que je croyais redoutable, fut beaucoup plus pathétique qu’intéressante. Elle a confirmé une mauvaise foi qui n’apporte rien à personne avec une hypocrisie clairement consternante.

Pour moi, modeste jeune Sarkozyste, faire de la politique autrement, c’est faire face avec conviction au débat d’idée, sans tabou. La reculade de Vincent Peillon (que j’espère ne pas être une reculade du PS), c’est tout simplement un aveu d’absence d’idée, de conviction. Soit il n’a rien à dire, soit il assume l’idée peu démocratique de vouloir dicter aux médias quels sont les bons sujets, quels sont les bons intervenants, quel est le bon tempo. Je suis triste de constater que le PS, parti au combien respectable, n’est plus en capacité de parler aux Français et d‘apporter une contradiction constructive à la vie de notre pays.

Avoir peur du débat, c’est un aveu de faiblesse auquel ne cède pas la majorité présidentielle.