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actualité politique - Page 12

  • Soirée HANDI POP' avec Michel BARNIER

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    HANDI POP’ recevait hier soir Michel BARNIER, candidat UMP aux élections européennes pour l’IDF, pour lui présenter ses premières propositions sur le handicap dans l’Europe. Frédéric Bouscarle a commencé par présenter notre mouvement et nos trois objectifs : être une force de propositions, sensibiliser notre famille politique et encourager les personnes handicapées à faire de la politique.

     

     

    J’ai ensuite pris la parole pour parler de cette association plutôt inédite du handicap et de l’Europe dans le cadre d’une campagne électorale. Si les communes et les départements peuvent s’appuyer sur des lois et des obligations précises, la responsabilité des régions est plus laissée à l’appréciation de chacune ce qui conduit à une grande « hétérogénéité ». Il n’y a qu’à voir l’affligeante quasi-inaction de la majorité de Huchon en IDF dans le domaine du handicap. Au niveau de l’Europe, les choses sont encore plus floues. Notre union avec les états membres est bien singulière et l’on ne peut se comparer à personne. Quelle politique du handicap peut-on développer à cet échelon ?

     

    barnier nous trois.jpgPuis Michel BARNIER s’est exprimé sur son souhait d’intégrer pleinement le handicap dans sa campagne. Il a aussi clairement affirmé que la France, se devait de porter cette exigence au niveau européen mais devait se garder tout particulièrement de se faire donneuse de leçon. Il a rappelé la complexité d’aligner les législations bien différentes entre états membres sur cette question. Il a néanmoins estimé que l’Europe pouvait faire converger ces efforts et ses réglementations autour de certains aspects notamment l’accessibilité physique de l’environnement et les questions de discriminations.

     

    Enfin, Nicolas Corsi est intervenu sur les questions de scolarisations des enfants handicapés européens, la formation de leurs accompagnants. Il a également évoqué la politique que pouvait avoir l’Europe en matière de nouvelles technologies notamment dans le cadre du handicap.

     

    Je suis particulièrement ravi de cette réunion car la présence de Michel BARNIER montre que la problématique du handicap investit le champ politique d’une manière sensible et constructive. Et même là où ce n’est pas évident, même dans notre « vieille Europe » dont le fonctionnement se plait à être en perpétuel changement, le handicap à sa place dans la réflexion… et dans l’action!

  • Réunion de présentation à Michel Barnier des propositions de HANDI POP' pour les élections européennes

    Chers Amis,
    HANDI POP' vous invite à une grande réunion sur le thème du handicap pour les élections Européennes en présence de Michel BARNIER, tête de liste aux européennes pour l’UMP en Ile-De-France. HANDI POP’ présentera à cette occasion ses propositions sur le handicap et l’Europe, ce qui ne s’est jamais fait dans les précédentes élections européennes. C’est une grande première et qui inscrit pleinement HANDI POP’ comme force de proposition dans notre famille politique.


    MERCREDI 25 MARS 2009
    à partir de 18h30
    au Siège de l'UMP
    55, Rue La Boétie
    75 008 PARIS
    dans la salle du rez de chaussée.


    Le nombre de places étant limité, merci de nous faire part de votre présence par mail à handipop@u-m-p.org avant Mardi 24 mars 18h. Pour information, 2 interprètes en LSF (Langue des Signes Française) assureront la traduction jusqu'à 21h30.
    Nous comptons sur votre mobilisation!

  • Réforme des collectivités locales : Ne criez pas avant d'avoir mal !

    balladur.jpgA entendre la voix cassée et fatiguée d’Edouard Balladur, cette semaine, au journal de 20h de TF1, personne n’oserait dire qu’il n’a pas présidé, animé et débattu dans la commission qu’il avait à charge. Sa voix était claire, néanmoins, quand il a fustigé les bobards… Sa commission fut pour autant, exemplaire et rendra des propositions concrètes assorties des remarques de tous ses membres, mêmes opposés à certaines préconisations. Des débats d’une grande qualité diffusés sur LCP-AN et Public Sénat pour notre plus grand plaisir. Alors que la commission n’a pas encore rendu son rapport, la politique politicienne de tous bords voudrait préempter le débat. Ne criez pas avant d’avoir mal (dis-je souvent à mes patients qui n’auront pas mal). Vous trouverez ci-dessous l’interview d’Edouard BALLADUR au Figaro.

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    LE FIGARO. - Que vous inspirent les premières réactions au rapport du comité ?
    Édouard BALLADUR. - À ce degré de mauvaise foi, elles m'inspirent une certaine surprise, aussi accoutumé que je sois à ce que sont les débats publics. Ce qui me frappe le plus, c'est qu'on puisse accorder crédit à des rumeurs colportées par les uns et les autres, sans avoir lu le texte du rapport. J'évoquerai les reproches tendant à accréditer l'idée que nous aurions voulu changer le régime électoral applicable aux élections régionales avec pour seul objectif de reconquérir les Régions aujourd'hui dirigées par la gauche. C'est faux. Il est expressément écrit dans le rapport que rien ne change pour les élections de 2010 et que la réforme du mode de scrutin n'entrera en vigueur, si on la décidait, qu'à partir de 2014.

    L'émoi sur le devenir de certaines Régions est-il justifié ?
    Sur cette question précise, la position du comité est simple et claire : nous considérons qu'il y a trop de Régions et qu'il vaudrait mieux qu'elles fussent plus puissantes. Pour autant, il ne nous appartenait pas de préconiser tels ou tels rapprochements qui, dans notre esprit, seraient fondés sur le volontariat des conseils élus des Régions.

    Pourquoi cette agitation autour du rapport ?
    Tout simplement parce que cette réforme est très difficile, beaucoup plus difficile que celle de la Constitution, puisqu'elle met en cause beaucoup d'intérêts et de positions de pouvoir.

    Pierre Mauroy, membre du comité, déplore «une occasion manquée»…
    Le comité a travaillé dans une ambiance bonne, cordiale, sereine, marquée par la considération réciproque. Nous sommes d'ailleurs parvenus à l'unanimité sur 16 des 20 propositions du rapport. Il y en a quatre que les représentants de la gauche, Pierre Mauroy et André Vallini, n'ont pas voté. Inutile de se le dissimuler, ce sont quatre propositions importantes, portant sur le maintien aux seules communes de la clause de compétence générale, le Grand Paris, l'élection lors du même scrutin des conseillers départementaux et régionaux, le transfert de compétences départementales aux « Métropoles » dont le rapport propose la création.

    Quelles sont les lignes directrices du comité ?
    Il y en a quatre : plus de puissance pour les collectivités locales, plus de démocratie, plus d'efficacité, plus de diversité. C'est à ces objectifs que répondent la création de « Métropoles », l'élection au suffrage universel des conseillers intercommunaux et de ceux des « Métropoles », une meilleure coordination des départements et des Régions, une meilleure définition des compétences pour chaque échelon, le souci que la suppression de la taxe professionnelle ne porte pas atteinte aux moyens des collectivités, la création du Grand Paris.

    Le débat annuel au Parlement sur les finances locales n'est-il pas une atteinte à l'autonomie des collectivités locales ?
    Il s'agit de choisir le sens de la démocratie. Je suis tout à fait favorable à la décentralisation, mais il est parfaitement légitime que le Parlement s'en préoccupe, dès lors que les collectivités locales ne perçoivent l'impôt que par autorisation parlementaire. Je souligne qu'il n'y a pas de risque d'inconstitutionnalité dès lors que cet objectif n'est pas contraignant. Nous avons d'ailleurs pris soin que l'intégralité de nos propositions ne nécessite aucune révision de la Constitution.

    Une réponse institutionnelle peut-elle être apportée à la crise aux Antilles ?
    Nicolas Sarkozy a proposé des États généraux de l'outre-mer. Il est probable qu'à cette occasion la question de l'avenir du statut des départements et des régions d'outre-mer sera posée. C'est une grande question qui nous invite à réfléchir aux institutions de l'outre-mer français, dans le respect, bien entendu, du principe d'égalité. En attendant que se tiennent ces États généraux, peut-être serait-il préférable que toute décision modifiant le statut actuel dans telle ou telle Région de l'outre-mer soit suspendue. Je pense au statut de Mayotte, dont la modification pourrait peut-être être reportée (Une consultation populaire est prévue le 29 mars à Mayotte, NDLR), chacun pourrait le comprendre, jusqu'à ce qu'on y voie plus clair sur l'ensemble des institutions d'outre-mer, mais je sais que cela pose le problème du respect du calendrier déjà fixé. Le comité ne s'est pas prononcé sur ces questions et s'est borné à proposer qu'une Assemblée unique se substitue aux conseils régionaux et aux conseils généraux qui régissent le même territoire.

    Selon vous, quelles propositions du rapport seront retenues par le président de la République ?
    Pour la révision constitutionnelle, il a retenu 80 % de nos propositions. Il faut lui laisser le temps de prendre connaissance de nos conclusions. Mais ces réformes doivent être engagées dès maintenant, il n'est que temps de décider. Il y a cinquante ans qu'on en parle, il faut passer aux actes. En même temps que mon rapport, je vais adresser au président de la République, par lettres distinctes, deux projets de loi-cadre, le premier sur le droit commun et le second sur le cas particulier du Grand Paris. Proposer deux projets distincts permet un échelonnement des concertations nécessaires et, je l'espère, un apaisement. Alors, le premier texte pourrait être discuté dès cet automne.

    La crise va-t-elle compliquer votre tâche ?
    Elle ne la facilite pas. Mais une des idées justes que défend Nicolas Sarkozy, c'est qu'il ne faut pas arrêter les réformes. Réformer les collectivités locales est une façon de préparer l'avenir dans un champ essentiel de la vie publique et de la vie économique. On pourra toujours nous expliquer qu'au moment où nous enregistrons près de 100 000 nouveaux chômeurs, il y a d'autres priorités. Mais on doit aussi préparer l'avenir et s'employer à faire comprendre les enjeux de cette réforme ; elle est essentielle pour notre pays, sa compétitivité, sa force économique, sa cohésion.

    En prônant la concertation, ne prenez-vous pas le risque qu'il ne se passe rien du tout au final ?
    Préféreriez-vous que je recommande la décision autoritaire immédiate ? Mon souhait est que le législateur décide au terme de la concertation. Quant à moi, je reprends ma liberté de parole, j'espère que nous éviterons le conservatisme et l'inertie. Quant au Grand Paris, qu'on demande aux Franciliens par référendum s'ils sont satisfaits de la situation des transports, du logement. Doutez-vous de la réponse ? Il est grand temps de sortir de la confusion.

    Êtes-vous optimiste sur l'aboutissement de la réforme ?
    Ce serait une belle réforme, une grande réforme. Jusqu'à présent, un effort louable de décentralisation a été engagé, mais on n'est pas allé jusqu'à son terme. On ne le pourra que si les collectivités locales sont plus puissantes. C'est notre but. Bien sûr, les premières réactions devant l'ampleur de notre projet ont été la surprise. Mais nous allons nous appliquer à expliquer, à clarifier et à débattre. Je remets le projet de loi à Nicolas Sarkozy qui nous reçoit jeudi. Ensuite, au gouvernement et au Parlement de décider.

  • Conseil National de l'UMP du 24 Janvier

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    je serai ce samedi 24 Janvier présent au Conseil National de l'UMP. Il sera retransmis en direct sur le site de l'UMP : http://www.u-m-p.org/

    Les interventions seront accessibles aux sourds et malentendants. Une fois encore, HANDI POP', mouvement associé qui fédère les personnes concernées par le handicap à l'UMP dont je suis le vice-président, se réjouit de la prise de conscience de nos responsables, concernant la nécessité de rendre l'information accessible à tous, et des actions concrètes sur lesquelles ont débouché nos demandes.

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  • HANDI POP' dans la "dizaine 100% Solidaires"

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    Les 10 premiers jours de décembre, les Jeunes de l’UMP lancent la « dizaine 100 % SOLIDAIRES » à l’occasion des Journées Mondiales des Droits de la Personne :

    - le 1er décembre, Journée mondiale contre le Sida « Sidaction » ;
    - le 3 décembre, Journée Internationale des Personnes Handicapées ;
    - le 10 décembre, Journée Internationale des Droits de la Personne.

    Cette « dizaine 100 % SOLIDAIRES » sera l’occasion de nombreuses opérations de Solidarité entre le 1er et le 10 décembre 2008 dans l'ensemble des fédérations Jeunes UMP de France :

    -         Distribution de préservatifs à l’occasion du Sidaction : plus de 30 000 préservatifs estampillés Jeunes UMP seront distribués gratuitement à l’occasion du Sidaction par les tous nouveaux réseaux étudiants des Jeunes de l’UMP.

    -         Vente de bracelets bleus marqués « 100 % SOLIDAIRES » au prix d'1€ symbolique par toutes les Fédérations Jeunes de France à l’occasion de la Journée Internationale des Personnes Handicapées et de la Journée Mondiale des Droits de la Personnes.  Frédéric BOUSCARLE, Président d’Handipop (mouvement associé à l’UMP) et Benjamin LANCAR, Président des Jeunes UMP s’associent autour de cette opération.

    Benjamin LANCAR, Président des Jeunes UMP :

    « Nous souhaitons mettre notre capacité de mobilisation à disposition de causes auxquelles nous sommes sensibilisés. Se mobiliser sur le terrain de la prévention à l’occasion du Sidaction fait partie des devoirs d’un parti politique de jeunes.

     

    Par ailleurs, nous travaillons régulièrement avec Handipop, mouvement associé à l’UMP, et sommes particulièrement attentifs à la question du Handicap. Je sais que les 30 000 Jeunes UMP sont prêts à se mobiliser pendant dix jours ! Nous avons constaté que peu de Jeunes Populaires cumulaient leur engagement politique avec un engagement associatif, bien souvent faute de temps. Les fonds récoltés par la vente des bracelets seront donc reversés à des associations départementales investies sur la question du Handicap ».

     

     

    Frédéric BOUSCARLE, Président de Handi pop’ :

    « J’ai souhaité que les Jeunes se mobilisent à l’occasion de la journée Internationale du Handicap ou encore celle des Droits des Personnes. Je suis heureux de l’écho positif qu’ont réservé les jeunes à cette initiative. De nombreux élus ont également répondu présents et s’associent à l’opération. Je suis heureux que nous puissions nous rendre utiles à cette occasion. Pas moins de 10% de la population française est en situation de handicap. Le Handicap est donc une question nationale qui concerne l'ensemble des français.

     

    Dans le prolongement de cette action, nous travaillons à l’accessibilité des outils de communication des Jeunes UMP et nous lancerons dans le courant 2009 une convention Jeunes sur la question du handicap ».

     

     

    Élise VOUVET, Déléguée nationale des Jeunes UMP en charge des Relations avec les Associations :

    « Alors que les décorations de Noël sont déjà partout, il est de notre devoir d’agir concrètement pour les personnes handicapées et malades que notre société a hélas trop souvent tendance à oublier.  C’est pourquoi, la dizaine « 100% Solidaires » est une magnifique occasion pour les fédérations Jeunes UMP de travailler avec le tissu associatif local. Il nous appartient d’inventer un nouveau partenariat en respectant la neutralité politique des associations, dans un esprit de fraternité afin que l’humanisme qui nous anime ne soit pas un vain mot !

     

    Ce partenariat se traduit déjà  par l’audition systématique des acteurs associatifs lors de nos travaux de réflexion et de proposition ».

     

    Aurore BERGE, Porte-Parole des Jeunes UMP :

    «  A l’occasion de la Journée Mondiale d’Action contre le Sida le lundi 1er décembre, les Jeunes Populaires se mobilisent. Dans l’ensemble de notre réseau « UMP Campus », les Jeunes Populaires distribueront 20.000 préservatifs estampillés UMP ainsi que 30.000 tracts pédagogiques rappelant notamment que 40.000 personnes seraient en France porteuses du VIH sans le savoir.

     

    Voir sur le site de l'UMP

     

  • Accueil des nouveaux adhérents UMP salle GAVEAU

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    HANDI POP’ était présent aujourd’hui pour accueillir les nouveaux adhérents UMP 2008. Une salle Gaveau pleine à craquer ce qui est très impressionnant vu de la scène. François FILLON, Patrick DEVEDJIAN, NKM, Roger KAROUTCHI, Xavier BERTRAND, Christian ESTROSI, Jérôme CHARTIER, et Benjamin LANCAR étaient présents à la tribune à nos côtés. Le discours de tous, ce fut l’expression d’une confiance totale envers l’action engagée par le président de la République et de son gouvernement mais aussi la désolation face à la stérilité persistante de l’opposition.

     

    Dans le discours de François FILLON, je retiens un passage particulier nous exhortant nous militants, de ne pas craindre la polémique. La prise en charge des SDF, la refondation du capitalisme, le travail dominical, le service minimal d’accueil à l’école sont autant de sujets, contournés précautionneusement par la gauche notamment. S’attaquer à ces questions, en ces temps de crises où notre pays doit être plus que jamais inventif et audacieux envers et contre tout, c’est rendre toute sa noblesse à l’action politique.