J’étais ce matin à une conférence très enrichissante portant sur « La directive européenne sur les Services : anticiper l’impact pour les PME Françaises ». Cette matinée était organisée par SME Union (Small and medium Entrepreneurs Union of the European People’s Party), par le PPE, la fondation Robert Schuman et la « Kondard Adenauer Siftung » et biensûr l’UMP et les jeunes actifs.
Le sujet était d’autant plus intéressant que cette directive a été adopté le 15 novembre en seconde lecture par les députés européens après deux ans de débats plutôt âpres. Pourtant, nombre d’entrepreneurs de PME françaises l’attendent, car elle vise deux leviers importants de notre économie :
- la suppression des barrières à l’installation des prestataires de services dans un autre état membre. - La suppression des obstacles à la libre circulation des services dans le marché intérieur.
Cette directive souhaite notamment répondre aux 91 cas de figures différents recensés en 2002 par la commission, de professionnels qui ne peuvent exercer hors de leurs frontières. Il fut aussi discuté les types de services exclus de cette directive tels que les services d’intérêt général non économiques (ex : éducation publique) ; les services financiers, les soins de santé, les services audiovisuels, les jeux d’argent, les serivces et réseaux de communication électronique, les professions et activités liées à l’exercice de l’autorité publique (notaires, huissiers…) et quelques autres.
Les intervenants étaient de grande qualité notamment Alain LAMASSOURE (Secrétaire national en charge des affaires européennes), Jacques TOUBON (député européen), Nicole FONTAINE (ancienne présidente du Parlment Européen, député européenne), Peter JUNGEN (co-président de SME Union du PPE), j’en passe et des meilleurs. Bref, c’était une matinée très sympa notamment pour lever « un peu le nez du guidon » et se pencher sur l’avis de nos amis polonais, britanniques, italiens et allemands présents. C’était enfin l’occasion de réfléchir aux moyens d’encourager l’audace, et l’ambition de nos entrepreneurs de PME pour "investir" le territoire Europe.
J'étais ce matin au vernissage de l'exposition 
ville plus verte et plus conviviale, se loger, vivre ensemble, et la petite enfance sont les thèmes développés au grès des installations au design sympathique. Le "coin" regards sur demain expose les grands projets notamment l'île Seguin.
n’ai pas trouver opportune l’intervention de l’obscur responsable de la commission épiscopale bioéthique de l’évêché de Fréjus-Toulon qui a lancé une polémique malvenue. Je le dis comme je le pense, Mgr Dominique Rey a perdu une occasion de se taire. Je suis encore plus déçu de l’intervention de Mgr Philippe Barbarin que j’avais appris à connaître quand, il était évêque dans ma région natale. Je ne dis pas que l’église n’a rien à dire sur le diagnostic pré-implantoire ou sur l’utilisation par la recherche des embryons surnuméraires. C’est le rôle de l'Eglise que de donner son point de vue sur tel ou tel thème mais c’est aussi son devoir que de vivre avec 
son temps et d'évoluer sans jamais perdre de vue les principes directeurs de la foi. Je suis assis le « cul entre deux chaises » puisque je suis hypersensibilisé sur le sujet des maladies génétiques mais je suis aussi catholique. Je pense qu’il faut enrichir encore plus les réflexions concernant la bio-éthique mais sûrement pas en créant une polémique à l’occasion du théléton. J’ai choisi de faire confiance à l’