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  • Ma réaction suite aux résultats du 1er tour de l'élection présidentielle 2017

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    Merci à tous de vos gentils messages et sms depuis hier pour me remonter le moral. C'est vrai, je suis triste mais avant tout pour mon pays et ma famille politique. Nous n'avons pas réussi collectivement à porter le seul projet en lice pour redresser la France. Notre candidat, François FILLON, n'a pas réussi à s'extraire des "affaires" le concernant. Notre famille politique n'a pas joué le jeux de l'unité. Nous avons navigué avec courage et volonté sous les vents forts et contraires des médias et des forces conservatrices.

    Les français sont placés désormais dans un choix contraint entre extrême et vacuité. Le manque de gravité et de fond d'Emmanuel Macron hier soir dans son intervention et sa soirée aussi festive que déplacée m'inspirent de grandes inquiétudes. La situation est pourtant grave et mérite un autre comportement, de tous d'ailleurs.

    Il faudra tirer de cette campagne et de ce nouveau contexte toutes les conséquences mais avec recul et responsabilité.

    A titre personnel, j'ai été fier de mener cette campagne difficile aux côtés de François FILLON. J'y ai défendu des valeurs et des sujets auxquels je crois notamment le handicap. J'ai participé à cette aventure comme jamais je ne l'aurais espéré, moi qui viens de nul part. J'ai beaucoup donné mais aussi beaucoup reçu. J'ai tellement appris de la nature humaine aussi, de ce qu'elle a de très beau et de moins glorieux. Et surtout, j'ai fais de magnifiques rencontres. A vous tous que j'ai croisé, avec qui j'ai travaillé sans compter, je veux dire merci; merci et à très vite! Cette défaite est une sacrée expérience mais doit surtout être un sursaut, un nouveau commencement!

    A nos électeurs, à nos militants, à ceux qui se sont engagés avec force auprès de François FILLON, je veux redire que le combat pour la France et nos valeurs ne se termine jamais.

    Avec vous!

    Pierre

  • Travail Accompagné: mon intervention à l'occasion du colloque organisé par le CFEA

    EMPLOI ACCOMPAGNE: Vous trouverez ci-dessous mon intervention au ministère des affaires sociales et de la santé à l'occasion au colloque organisé par le Collectif Emploi Accompagné.

     

    Mesdames,

    Messieurs,

    Je remercie le collectif français pour l’emploi accompagné de son invitation. Je viens ici en tant qu’élu, conseiller régional, pour vous faire partager le point de vue d’une collectivité locale, de ma collectivité territoriale.

    Alors oui, l’emploi accompagné, ce fut longtemps pour nous, petits élus et pour les services une lubie intéressante, un concept à la mode dans quelques associations mais néanmoins vraisemblablement prometteur.

    Et puis le dispositif a été généralisé par la loi El Komri du 8 août 2016 puis le décret de décembre 2016. C’est donc encore une victoire des associations qui ont forcé le politique à faire de la politique telle que je l’imagine à savoir rendre possible ce qui est souhaitable. Il y a quelque chose de « cranté » de par cette loi et désormais, rien ne pourra faire revenir en arrière ce droit nouvellement ouvert. D’ailleurs, les candidats à l’élection présidentielle qui souhaite soit l’abrogation, soit la profonde modification de la loi El Komri ne souhaitent pas revenir sur l’emploi accompagné.

    Mais comme chaque loi, elle ne sera efficiente et pertinente que dans la façon dont nous allons la faire atterrir dans la réalité, la rendre opérationnelle.

    Pour les personnes un peu éloignée du sujet, l’emploi accompagné, c’est un peu la scolarisation accompagnée. Et de fait nous pourrions avoir tendance à transposer nos paradigmes de l’accompagnement à l’école à l’emploi accompagné avec aussi nos « angoisses ». Quels moyens ? Ceux qui doivent accompagner seront-ils en nombre ? Seront-ils correctement formés ? Les décisions de la CDAPH de proposer le dispositif tiendra t-elle compte de la pénurie éventuelle d’accompagnants ? Quel sera le délai de ces décisions ?  Les membres de la CDAPH seront-ils bien familier des possibilités de l’emploi accompagné et de son adéquation avec un public cible ? Comment garantir la pérennité de cet accompagnement ? Quel contrôle des organismes gestionnaires ?

    Et les angoisses se renforcent quand on considère que ce sujet est à cheval sur plusieurs ministères. C’est en général la meilleure façon de complexifier la complexité. Pourtant, ce travail interministériel est non seulement nécessaire mais fondamental.

    Au niveau régional, nous avons la chance d’avoir des acteurs qui ont noué des partenariats solides depuis longtemps. Le dispositif de l’emploi accompagné va pouvoir s’appuyer sur un réseau déjà bien constitué entre les services de l’état, l’AGEFIPH, le FIPHFP et tous les acteurs qui se coordonnent au sein de la commission handicap du CREFOP. C’est une chance car d’autres régions ont un réseau moins solidement constitué pour diverses raison et notamment la désorganisation liée à la fusion de certaines d’entre elles.

    Les discussions sont déjà bien engagées en Ile-de-France. Alors certes, les choses ne sont pas simples car nouvelles mais la volonté est là. Il revient à l’ARS et à la DIRECCTE de se rapprocher de leurs autorités nationales respectives (ministère et CNSA) pour préciser :

    -          La répartition des moyens alloués dans le budget national de 7,5 millions d’euros en région.

    -          Les modalités de déploiement du dispositif en région.

    Vous comprenez donc que l’on rentre vraiment dans la phase opérationnelle.

    Il faudra également finaliser dans le détail le cahier des charges. L’ARS a prévu une large concertation. Ce projet de cahier des charges sera soumis à un groupe de travail plus large réuni dans le cadre de la commission handicap du CREFOP. D’ailleurs, ce groupe de travail du CREFOP pourrait se constituer en groupe de suivi et de déploiement du dispositif en Île-de-France.

    La région Île-de-France, en tant que co-pilote du PRITH, en tant que membre active de la commission handicap du CREFOP aux côtés de l’état, de l’AGEFIPH, sera bien évidement non seulement attentive mais partie prenante sur le sujet.

    Nous serons également soucieux que notre « public région », c’est à dire les jeunes en âge d’être au lycée, puisse accéder à l’emploi accompagné. Certes, le dispositif à vocation à permettre aux travailleurs en ESAT qu’ils puissent y accéder mais nous le voulons aussi accessible aux jeunes qui sont en ULIS ou dans nos dispositifs type passerelle.

    Mais au-delà de cette participation, la région a un rôle à jouer dans la diffusion de la connaissance de ce dispositif auprès du tissu économique francilien que vous savez dense et dynamique. Car à côté de ce travail d’horlogerie entre partenaires, à côté de ce temps d’accommodement entre acteurs publics qui n’ont pas la même culture ou la même mesure du temps, il y a aussi, à l’autre bout de la chaîne, les entreprises et collectivités locales qui vont devoir s’approprier cet OVNI. Je réponds d’aileurs bien volontiers à l’invitation du président RAVAUT pour organiser une ou des matinales avec nos partenaires économiques.

    Cela veut dire que nous devrons former aussi nos agents qui sont en contact avec les entreprises franciliennes. Car les entreprises nous les croisons notamment quand elles viennent nous demander de l’aide ou un soutien financier pour leur gestion RH ou pour leur développement. Que ce soit nos plateformes RH déployées dans nos 8 départements ou au sein de Paris Région Entreprises, nous devrons faire en sorte que nos agents qui conseillent les entreprises soient au point avec ce dispositif. Déjà, ces agents évoquent la question des ressources humaines et handicap auprès des entreprises même si elles viennent pour d’autres raisons. Il faut rajouter à leur champ de connaissances, de possibles, l’emploi accompagné.

    Et puisque charité bien ordonnée commence par soi même, bien évidemment, la région en tant qu’employeur public, fera sa place à ce dispositif dans son effectif d’autant que nous avons inscrit cette préoccupation dans l’accord social sur l’emploi et le maintien dans l’emploi des agents en situation de handicap au sein du conseil régional, signé en décembre 2016 avec les représentants syndicaux à l’unanimité.

    Je vous remercie.

  • Intervention au Sénat aux Assises "Droits culturels et politiques publiques"

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    Retrouvez ci-dessous mon intervention au sénat à l'occasion des assises "Droits culturels et politiques publiques" où j'ai développé l'attention de la présidente de la région Ile-de-France, Valérie PECRESSE, pour une politique culturelle inclusive.

    Mesdames Lorin-Desailly et Homo, Monsieur Fertier, les organisateurs de ces assises,

    Monsieur l’adjoint au défenseur des Droits, Cher Patrick Gohet,

    Mesdames, Messieurs les sénateurs,

    Mesdames et messieurs les élus, responsables associatifs,

    Mesdames, Messieurs,

     

    Je suis très heureux de représenter Valérie PECRESSE à cette table ronde  portant sur les « droits culturels et les politiques territoriales ». Notons bien dans l’intitulé de la table ronde que le mot « droits » est au pluriel car plusieurs droits sont attachés à l’accès à la culture notamment pour les personnes en situation de handicap. Je pense à l’accès physique aux salles de spectacle mais aussi au patrimoine, aux bibliothèques etc… C’est aussi le droit à l’accès sensoriel au spectacle vivant, au cinéma, aux expositions, aux concerts. C’est aussi le droit à la pratique culturelle de manière amateur mais aussi pourquoi pas, de manière professionnelle. C’est aussi le droit de bénéficier d’une éduction culturelle adaptée à son âge, son niveau, ses possibilités cognitives, son handicap. C’est aussi le droit de de partager des expériences culturelles avec d’autres qui nous sont différents (valides et personnes handicapées dans le cadre de la mixité) car la notion de vivre ensemble c’est aussi « se cultiver ensemble, s’émouvoir ensemble, admirer ensemble, ressentir ensemble etc… ».

    Cette collection de droits nécessite donc une vision stratégique au niveau des politiques publiques. Une vision stratégique mais aussi transversale. De là, le prisme territorial devrait imposer aux collectivités, quelques soient leur échelon, de développer ce réflexe de la considération du handicap dans l’ensemble de ses domaines de prérogatives. Ce réflexe n’est pas encore systématisé il est vrai. Les communes, les départements, les régions mettent en œuvre des dispositifs spécifiques ou insèrent la considération du handicap dans des dispositifs de droit commun mais il est possible de progresser dans la stratégie systématique et transversale des droits culturels pour des publics spécifiques.

    Les freins qui apparaissent dans l’épanouissement de ce genre de politiques ne sont pas uniquement financiers. La baisse des dotations de l’état et les difficultés financières des collectivités locales sont parfois devenues des excuses à l’absence d’imagination, de réflexion, et d’ambition sur les questions de culture inclusive. Peut-être aussi que plus les marges de manœuvres sont réduites, plus l’opinion publique, les élus, les administrations hiérarchisent leurs actions et leurs efforts. Le risque, dans les périodes que nous vivons, est de considérer que l’accès à la culture ne pèse pas lourd face à l’accès au logement, l’accès à la formation et à l’emploi, l’accès aux transports (pour parler des compétences régionales). Ces Assises, C’est l’occasion, de dire et de redire que la base d’une politique handicap efficiente est d’avoir une politique de développement harmonieux. Harmonieux veut dire ici que les efforts sont partagés de manière homogène. Que serait une politique d’accès à l’emploi et à la formation  des personnes handicapées sans traiter la question des transports et de logement. De même, quelle serait une politique de réduction des fractures territoriales et de luttes contre les discriminations sans œuvrer pour une culture accessible vraiment à tous.

    Pour vous parler un peu plus de la région Ile-De-France, notre ambition culturelle que nous avons présenté le 13 septembre dernier s’intitule « une culture pour tous les franciliens ». L’ambition de la présidente de région, Valérie Pécresse, et de faire de la culture le ciment de notre région. Un ciment pour réparer les fractures territoriales, culturelles, sociologiques d’un territoire de 11 millions d’habitants.

    La tâche n’est pas facile car la région Ile-de-France (comme toutes les régions), peine à s’imposer comme un acteur structurant en matière culturelle. Pourtant, elle a octroyé 83 millions d’euros entre 2010 et 2015. Le constat, c’est que la politique culturelle régionale a longtemps été illisible justement de par l’absence de stratégie véritable en général et pour les publics spécifiques en particulier, par la multiplication des dispositifs et par l’hyper-concentration des aides régionales dans des zones géographiques spécifiques (paris et Seine-Saint-Denis).

     

    La contribution régionale aux droits culturels sera fera avec d’autant plus de force qu’elle pourra s’inscrire dans les dispositifs de droits communs.

    De fait, notre ambition culturelle est une ambition de culture pour tous en luttant contre la désertification culturelle, en veillant à l’équilibrage territorial des aides, en favorisant la mobilité des équipes artistiques. Cette culture qui va au devant des franciliens (et non l’inverse) est selon nous une voie de progrès dans l’accès à la culture notamment des personnes handicapées.

    Mais nous voulons également encourager l’éducation artistique et culturelle dans les structures d’éducation spécialisée du domaine régional. Je pense aux ULIS, EREA et unité spécialisée en CFA.

    De même, nous inscrivons dans notre volonté de développer l’économie et les emplois en IDF à travers notre politique culturelle en y intégrant la dimension handicap.

    Par ailleurs, la région Ile-de-France développe dans sa stratégie de revalorisation du patrimoine la dimension de l’accessibilité.

    Enfin et sans être exhaustif, les situations de handicaps sont prises en considérations dans notre soutien à la création artistique et aux grands événements culturels, dans nos orientations d’attribution de la permanence artistique culturelle, dans nos appels à projets de lutte contre les discriminations.

    Il faut avoir la modestie de reconnaître qu’il reste beaucoup à faire notamment car au-delà d’une plus grande prise en compte, ce sont de nouvelles approches, de nouvelles compétences, un regard renouvelé sur la culture et le handicap qu’il nous faut. Ces assises sont l’occasion de donner corps à ce souci, cette ambition, ce besoin. Je crois à la co-construction de nouvelles voies d’accès aux droits culturels  pour les personnes handicapées avec les pouvoirs publics, le politique, le milieu associatif, les personnes concernées, les professionnels, les familles et biensur les artistes.

    Pour conclure, je dirai qu’en matière d’accès à la culture, la défense de la dignité, la lutte contre les discriminations et notre ambition de faire culture ensemble doivent toujours plus converger vers l’égalité des droits, l’accès, et la participation culturelle des personnes handicapées pour paraphraser l’intitulé de la loi de février 2005.

    Je vous remercie.

  • Poursuivons avec Pierre-Christophe BAGUET une politique ambitieuse en matière de handicap

    multi handicaps.jpgDepuis l’arrivée de Pierre-Christophe BAGUET à la mairie de Boulogne-Billancourt en 2008, j’ai eu l’honneur de travailler sur les questions de handicap auprès d’une équipe municipale et d’agents communaux très impliqués. En concertation avec les associations, nous avons veillé à aborder le handicap dans un cadre transversal afin d’améliorer le quotidien des boulonnais concernés et de leurs familles. Nous sommes très fiers de l’action menée durant ce mandat même si nous sommes parfaitement conscients qu’il reste beaucoup à faire. Pour poursuivre une politique ambitieuse en matière de handicap à Boulogne-Billancourt, votez pour notre maire, Pierre-Christophe BAGUET le 23 Mars prochain, aux élections municipales.

     Pierre Deniziot

    quelques exemples d'actions menées durant notre mandat :

    création d’un foyer d’accueil médicalisé de 36 places pour jeunes adultes polyhandicapés et personnes vieillissantes ayant un handicap mental, création d’une maison pour le Locked-in syndrome de 22 places, création d’un IME pour adolescent ayant des troubles envahissants du développement de 20 places, création d’une structure pour accueillir le jardin d’enfant adapté de 15 places pour nourrissons polyhandicapés, 12 délibérations présentées en conseil municipal spécifiques au handicap, multiplication par 2 du nombre d’associations œuvrant dans le champ du handicap soutenues financièrement par la ville, augmentation de 45% du budget subventions aux associations handicap, convention signée avec le FIPHFP pour l’emploi des personnes handicapées, augmentation de 41.76% du taux de travailleurs handicapés en mairie, campagne de sensibilisation en interne au handicap, mise en place du plan de mise en accessibilité de la voirie (PAVE), 85.42% des 30km de voiries principales accessibles, création de places de stationnement PMR pour atteindre la norme de 2%, 280 000 euros par an dédiée à l’accessibilité voirie, suivi du diagnostic d’accessibilité de nos bâtiments municipaux et programmation d’un plan pluriannuel d’investissement, travaux de mise en accessibilité de nos bâtiments municipaux, revalorisation des aides du CCAS vacances et complément revenus pour les bénéficiaires de l’AAH, création d’une charte d’accueil des enfants handicapés dans nos crèches, création d’une CLIS supplémentaire et de deux ULIS, nomination d’un référent loisir/handicap, mise à disposition d’agents municipaux faisant fonction d’AVS, actions de sensibilisation au handicap avec le CCEJ, volet handicap dans notre candidature «ville amie des enfants» de l’UNICEF, aide financière aux instituts en dehors de la ville recevant des petits boulonnais handicapés, nomination d’un référent handisport, soutien financier aux athlètes boulonnais médaillés aux jeux paralympiques, organisation d’un tournoi national de cesifoot, formation au handisport d’éducateurs de l’école municipale des sports, participation à l’organisation de courses relais inter-entreprises solidaires, mise en place de rencontres sportives inter-foyers et inter CITL, participation d’associations boulonnaises à la CIAPH de GPSO, mise en place du portage de biens culturels à domicile, mécénat pour un parcours tactile dans le musée Belmondo, session d’échanges sur les questions à l’adolescence auprès d’ados trisomiques mise en place avec le service santé, redynamisation du téléthon dans la ville, participation de la ville à la journée mondiale de sensibilisation à l’autisme, communications régulières de sensibilisation au handicap dans le BBI, opération pervenche du CCEJ et enfants des centres de loisirs pour sensibiliser les automobilistes au respect du stationnement PMR, aide au diagnostic d’accessibilité des commerces avec le FISAC, participation de la ville à la CIAPH de GPSO et à la commission accessibilité de l’AMIF, renforcement du transport adapté sur la ville (+102% d’utilisateurs), création d’un service handicap avec budget spécifique et un poste en plus, participation du service handicap au forum de la petite enfance et à l’accueil des nouveaux boulonnais, édition d’un guide handicap, participation des associations à la concertation sur les nouveaux aménagements, convention signée pour l’opération bouchon-handisport, convention signée entre la ville et le groupe d’entraide mutuelle pour personnes ayant un handicap psychique etc…………

  • Avec Pierre-Christophe BAGUET, pas de hausse d'impôts locaux en 2014

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  • Avec Pierre-Christophe BAGUET, participez au projet Boulonnais qui nous rassemble !

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    Animé par une volonté toujours plus forte de faire de Boulogne-Billancourt une Ville encore plus unique, j’ai pris la décision de solliciter à nouveau votre confiance en mars prochain.

    Avec vous, depuis 2008, notre ville connait un nouveau dynamisme. Nos finances sont assainies, nos dépenses maîtrisées, notre dette réduite. Nos actions en faveur des familles sont renforcées, de nouveaux terrains de sports vont voir le jour et, après tant d’échecs dans le passé, le grand projet international de l’Île Seguin démarre enfin, en tenant compte de votre choix.

    Beaucoup a été fait ou engagé et, fort du travail que nous avons accompli ensemble, je veux continuer à porter un projet ambitieux pour une ville qui nous rassemble.

    Ce projet doit être le vôtre. Vous pouvez déposer votre contribution, vos idées, vos propositions sur internet ou dans notre boîte à idées à la permanence 155 boulevard Jean Jaurès.

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