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  • Convention UMP sur l'éducation : je serai présent!

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    Xavier Bertrand
    Secrétaire général

     

     

     

    Nathalie Kosciusko-Morizet
    Secrétaire générale adjointe
    en charge de l’organisation du débat

    Laurent Wauquiez
    Conseiller politique
    en charge de l’organisation du débat


    vous convient au Rendez-vous pour la France


    “Tout commence par l’éducation”

    Mercredi 3 novembre 2010
    de 8h30 à 17h30

    Inscription obligatoire avant le 29 octobre
    (dans la limite des places disponibles)
    par mail : rp@u-m-p.org
    ou par tél. : 01 40 76 61 11
    ou sur www.lesrendezvouspourlafrance.fr

     

    Centre des congrès de la Villette
    Cité des Sciences et de l’Industrie
    Salle Condorcet
    30, avenue Corentin Cariou 75019 PARIS


    Une pièce d’identité vous sera demandée à l’entrée.

  • Résultats des élections au Comité de Circonscription de l'UMP à Boulogne-Billancourt

     

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    Délégué de circonscription :

     

    • Pierre-Christophe BAGUET

    Membres du comité de circonscription : 

    • Armelle AYALA
    • Christian BARBIERO
    • Mathieu BARBOT
    • Florent BLANQUEFORT
    • Sylvia BONDOUX
    • Daniel BIYONG BONG
    • Rémy CHALLIER
    • Jean-Claude COCHET
    • Thierry DARFEUILLE
    • Géraud de FONTANGES
    • Michel DELEHAYE
    • Christine DELOFFRE
    • Philippe DERMAGNE
    • Fabien DOLBEAU
    • Alain DUMONT
    • Joseph HADJ-SALAH
    • Suzanne KRAWTCHUNSKY
    • Yannick LAUNETTE
    • Christine LAVARDE
    • David LE LAY
    • Jacques LEDIEU
    • Florence LOUETTE
    • Jean-Marie NAVARRE
    • Jean-François SAUGIER
    • Thierry SURIN

    Rappel : Les maires adjoints sont membres de droit du comité de circonscription.

    Membres du comité "nouveaux adhérents" :  

    • Nadjoua DAHOULI
    • Michel HAAS
    • Gérard LEFEBVRE
    • Evelyne RIMBAULT

    Représentants de la circonscription au Conseil national de l'UMP :  

    • Rémy CHALLIER
    • Michel DELEHAYE
    • Christine DELOFFRE

     

  • Stade Français - Stade du Saut-du-Loup: les 7 maires de GPSO répondent aux récents "délires" de Max Guazzini

     

    parisien logo.jpgS'ils s'affrontaient sur un terrain de rugby, Pierre-Christophe Baguet et Max Guazzini se livreraient sans aucun doute à une explication musclée, plaquages hauts et coups bas au détour d'un regroupement.

     

    Interpellé jeudi soir durant le conseil municipal par Marc Fusina, élu d'opposition (PS), au sujet du probable départ de l’ACBB rugby du stade du Saut-du-Loup dans le bois de Boulogne à la fin de la saison, le député-maire (UMP) de Boulogne-Billancourt a fustigé le président du Stade Français qui, selon lui, prône « le sport paillettes et veut installer ses mercenaires au Saut-du-Loup au détriment des 700 enfants licenciés à l'ACBB rugby ».

     

    Boulogne-Billancourt milite depuis presque trois ans contre le projet de reconstruction du stade Jean-Bouin porté par le voisin parisien. Une guérilla qui a fini par lasser Max Guazzini, comme il le confiait dans l'édition du « Parisien » parue lundi dernier, et sans doute la mairie de Paris. Afin de permettre aux membres de l’ACBB de rester au Saut-du-Loup, les maires de Grand Paris Seine Ouest (GPSO) affirment avoir vainement tenté de garder l'effectif du Stade Français sur les pelouses de Marcel-Bec à Meudon « M. Guazzuni ment quand il dit que je l'ai poussé dehors de Marcel-Bec, assure Pierre-Christophe Baguet. Quatre réunions techniques ont eu lieu en 2009 et 2010 avec les représentants du Stade Français. Nous avons donné notre accord à M. Guazzini pour des créneaux horaires supplémentaires. Nous lui avons même promis de payer les 800 000 i de travaux pour les vestiaires et le bâtiment administratif ». Pourtant, Max Guazzini n'a pas pris part à la réunion du 24 juin à l'hôtel de ville de Boulogne qui devait sceller l'accord Une visite « sans objet et trop tardive » pour le président stadiste. Son équipe avait d'ailleurs déjà repris l'entraînement dix jours plus tôt sur les pelouses refaites à neuf de la Cité universitaire, près du stade Charléty, devenu leur antre en attendant la livraison du nouveau Jean-Bouin en 2013. Le choix du futur locataire du Saut-du-Loup revient maintenant à la mairie de Paris.

     

    « Depuis 2004, on essaie d'avoir des accords avec l'ACBB pour partager le Saut-du-Loup mais ils ont toujours refusé »,assure Max Guazzini. Si la concession de l'infrastructure située dans le bois de Boulogne revient l'an prochain au Stade Français, elle ne servira pas qu'aux dieux du Stade mais à l'ensemble du club. « Par manque d'équipements, nous refusons chaque année des centaines de jeunes, regrette Max Guazzini. Beaucoup rejoignent d'ailleurs l’ACBB ».

    Jérôme Bernatas

  • Article du Point: Revers pour les partisans de l'adoption homosexuelle

     

    lepoint_fr.jpgPARIS (Reuters) - Le Conseil constitutionnel n'a pas reconnu mercredi le droit aux couples de même sexe de partager l'autorité parentale, renvoyant aux législateurs la question de l'adoption homosexuelle.

    La décision a provoqué la colère des associations gays et lesbiennes pour qui les "Sages" ont créé une "discrimination constitutionnelle".

    Deux femmes vivant ensemble avaient saisi le Conseil constitutionnel sur l'article 365 du code civil qui empêche les couples homosexuels d'exercer sur leurs enfants une autorité parentale pleine et entière.

    Le Conseil a jugé cet article conforme à la Constitution et l'a donc validé. L'article 365 du code civil, selon les juges constitutionnels, n'empêche pas "mener une vie familiale normale" qui, elle, "n'implique pas le droit à l'établissement d'un lien de filiation adoptive".

    De plus, "le législateur a estimé que la différence de situation entre les couples mariés et ceux qui ne le sont pas pouvait justifier, dans l'intérêt de l'enfant, une différence de traitement quant à l'établissement de la filiation adoptive à l'égard des enfants mineurs", rappelle le Conseil.

    "Il ne lui appartient pas de substituer son appréciation à celle du législateur sur une telle question", souligne le texte, renvoyant la balle au Parlement.

    C'est à lui qu'il revient de tirer les conséquences "en matière de filiation et d'autorité parentale, de la situation particulière de l'enfant élevé par deux personnes du même sexe".

    Pour l'association des parents et futurs parents gays et lesbiens (APGL), cette décision constitutionnalise "le fait que des enfants - 200 000 dans le cas des familles homoparentales - ne puissent pas bénéficier de la protection de deux parents alors même que le droit de la famille est construit autour de la notion de l'intérêt supérieur de l'enfant".

    "Le principe d'égalité devant la loi est bafoué", dénonce l'APGL, qui demande au gouvernement de mettre un terme à cette "discrimination constitutionnelle".

    De son côté, l'association SOS Homophobie juge que le Conseil constitutionnel se situe "en dehors de la réalité" et dénonce "l'immobilisme total" de l'institution.

    "Le mariage ne peut pas, ne doit pas et n'est plus le seul cadre au sein duquel l'intérêt supérieur de l'enfant peut être reconnu", dit-elle dans un communiqué.

    SOS homophobie réclame "une fois de plus, que la classe politique gouvernante reconnaisse que les modèles familiaux qu'elle prône ne correspondent plus, aujourd'hui, non seulement à la réalité de la société, mais aussi à l'intérêt de l'enfant".

    Emile Picy et Laure Bretton, édité par Gilles Trequesser

     

  • Reçu au Palais de L'Elysée : Handi Pop' évoque l'AAH, les retraites des personnes handicapées, la future réforme du 5ème risque


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    J’étais reçu en début de semaine au Palais de L’Elysée par la conseillère handicap du Président de la République, Sibyle Veil, en compagnie de Frédéric BOUSCARLE (Président de HANDI POP’), et de mes collègues Vices-Présidents Jérôme-Pierre Dupuy et Olivier Baldachino. Retrouvez ci-dessous notre communiqué.

     

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    Handi Pop’, a été reçue le 27 septembre au Palais de l’Elysée par Madame Sibyle Veil, Conseiller à la Présidence de la République. Le Président d’Handi Pop’ souhaitait de manière étendue obtenir des perspectives dans la conduite des engagements présidentiels pris en faveur des personnes en situation de handicap et, de façon plus spécifique, être rassuré sur le contenu des dossiers de l’Allocation Adulte Handicapé (AAH) et des retraites.

    Concernant l’AAH, Handi Pop’ à pris acte de la confirmation du message porté auprès du comité d'entente des personnes handicapées et de parents d'enfants handicapés par Nicolas Sarkozy, le 13 septembre dernier. La revalorisation de l’AAH sera conforme aux engagements présidentiels de 2007. Au terme du quinquennat, l’allocation aura donc progressé de 25%.

    Le deuxième sujet portait sur les retraites. Handi Pop’ a rappelé que par un courrier adressé à Eric Woerth en mai 2010, le Président d’Handi Pop’, Frédéric Bouscarle avait attiré l’attention du Ministre du travail, de la solidarité et de la fonction publique sur le nécessaire maintien de la possibilité pour les personnes handicapées ayant travaillé au moins 25 ans de partir à la retraite à partir de l’âge de 55 ans avec une pension à taux plein. Pour le Président d’Handi Pop’, la préservation de cette mesure relève du principe de solidarité de la Nation et ne peut souffrir du recul de l’âge légal de départ en inactivité. Pour la Présidence de la République, non seulement ce dispositif est maintenu mais il devrait par ailleurs voir ses conditions d’éligibilité étendues notamment par la modification du critère d'incapacité permanente de 80%.

    Handi Pop’ est satisfait de ces bonnes nouvelles. Pour le Mouvement Populaire il est évident que des « progrès significatifs doivent encore être réalisés en faveur du handicap et que l’Etat doit se montrer exemplaire »