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THIERRY SOLERE (UMP-NC-PR) : 45,93%
CHLOE JAILLARD (PS): 20,92%
MAURICE GILLE (EELV):15,99%
JEAN ALLARD (FN): 14,28%
ALAIN TAILLEUR (2,98%
Nombre d'électeurs inscrits : 21651
Nombre de votants :7213
Taux de participation : 33,31%
Nombre de votes exprimés : 6998
Nombre de votes blancs et nuls : 215
Voir les résultats par bureau de vote ICI
Chers amis,
C’est avec un peu de retard que je vous adresse mes meilleurs vœux pour cette nouvelle année 2011.
L’année 2010 fut riche à tous points de vue. A titre personnel, biensûr, 2010 sera l’année où je devins père avec la naissance de mon fils Pierre-Louis le 23 Février. C’est un bonheur familial immense et je vous avoue que les mots me manquent pour exprimer ma joie quotidienne de suivre les progrès de mon petit bonhomme plein de vie…
2010, sur un registre plus politique, m’a donné la fierté de représenter notre ville de Boulogne-Billancourt aux élections régionales. Je remercie encore tous ceux qui ont soutenu ma candidature. Ce fut une expérience enrichissante et passionnante d’autant que j’ai eu la chance de contribuer au programme de notre candidate, Valérie Pécresse, par le biais de HANDI POP’, mouvement associé à l’UMP fédérant les personnes handicapées dont je suis Vice-Président.
2010, c’est aussi une année où, conseiller municipal à Boulogne-Billancourt en charge des questions relevant du Handicap, de la Dépendance et de l’Accessibilité auprès de Pierre-Christophe Baguet, j’ai pu approfondir mon travail avec mes collègues élus et les services municipaux. J’ai bien conscience que beaucoup reste à faire sur notre ville mais je me permets de penser que nous sommes sur la bonne voie et que les mois à venir sont très prometteurs.
2010 fut aussi une année "chargée" sur un plan politique national. L’action réformatrice de notre Président de la République, Nicolas SARKOZY, a suscité vagues et débats dans notre pays. J’adhère entièrement à cette action et je suis fier que notre pays se soit mis en capacité de surmonter une crise économique, financière et sociale mondiale sans précédent par des actions courageuses.
2011 sera une année utile, une année avec des enjeux électoraux déterminants à commencer par les élections cantonales. Thierry Solère sera notre candidat sur l’un des trois cantons de notre ville et je ferai campagne avec dynamisme comme le militant de terrain que j’ai toujours été.
2011, C'est pour l'UMP des Hauts-de-Seine la venue à son animation de Jean-Jacques Guillet. Le président Devedjian n'a pas démérité à ce poste mais je ne doute pas du potentiel de redynamisation et de nouveautés que nous propose la nouvelle équipe dirigeante.
2011, c’est aussi un nouveau départ pour l’UMP avec l’arrivée de Jean-François Copé et je le lui adresse mes encouragements et mon soutien pour rassembler tout en mettant dans une ébullition constructive notre famille politique dans la perspective de 2012…
Je vous souhaite, à tous, chers amis, une très bonne année 2011. Une année d’enthousiasme, d’ambitions, de sérénité, de bonheur personnel et familial, une année de victoires, une année de confiance, une année de militantisme acharné, une année d’épanouissement et surtout, une bonne santé.
Bien fidèlement,
Pierre
Ce fut un beau conseil national auquel j'ai assisté aujourd'hui.
J-F COPE a tenu son pari de faire de ce conseil un véritable parlement du parti. Sans filet, sans tri à priori, de nombreux conseillers nationaux ont pris la parole pour interroger, tous azimuts, les cadres et ministres de notre parti.
2012 est en ligne de mire. Tout d'abord les quatre grands chantiers des mois à venir : reforme de la dépendance, reforme de la justice, travailler sur l'emploi des jeunes et des seniors et enfin la baisse des déficits et de la dette.
Puis, parallèlement, M. COPE a souhaité que notre parti devienne véritablement un gisement de débats, d'idées et de propositions dans l'optique des prochaines échéances électorales (les cantonales, les sénatoriales, et biensur les présidentielles et les législatives).
Je me réjouis de ce "vent nouveau" qui souffle sur notre famille politique. La part importante qui semble désormais dévolue aux mouvements associés ne peut que satisfaire le vice-président de HANDI POP' que je suis.
Quand un Parti Socialiste s'illustre par son absence d'idée, de proposition et par sa multitude de candidats, je suis fier d'appartenir à une famille politique qui, derrière un candidat, Nicolas SARKOZY, encourage le débat et la diversité sous le signe du respect et de l'unité au service de la modernisation de notre pays et du quotidien des français.
Une mention spéciale et amicale à nos conseillers nationaux Boulonnais, Christine Deloffre et Michel Delehaye, très présents dans ce conseil national.
La victoire en 2012, c'est maintenant qu'elle se construit, avec toute la force militante qui nous anime. Unité, rassemblement et détermination: c'est notre feuille de route!
Le comité départemental de l’UMP a élu ce soir son Président Jean-Jacques GUILLET. Une victoire nette face à Patrick DEVEDJIAN.
Je pense que l’UMP du 92 souhaitait un renouveau, un nouvel élan et ceci, bien plus que de vouloir sanctionner le Président DEVEDJIAN qui n’a pas démérité à ces fonctions. Je conserve à M. DEVEDJIAN ma plus grande sympathie en me remémorant ses mots lors ma candidature aux élections régionales. Je me souviens aussi quand, secrétaire général de l’UMP, il m’a reçu, étant vice-président de HANDI POP’ (mouvement associé à l’UMP fédérant les personnes concernées par le handicap). Il nous a toujours apporté un soutien sans faille et c’est donc toute ma reconnaissance que je lui exprime.
Sans esprit de sanction, avec le désir de prendre un nouvel élan, d’une manière propre et démocratique, l’UMP du 92 a confié à Jean-Jacques GUILLET la charge de mener notre mouvement, dans le département, vers la victoire aux cantonales, sénatoriales et prochaines élections présidentielles. A l’occasion d’un discours tenace, déterminé et ambitieux, Jean-Jacques GUILLET en a appelé à nos forces militantes pour soutenir avec force notre mouvement, Nicolas SARKOZY notre Président de la République, nos candidats Altoséquanais, nos valeurs, nos idées. Il souhaite très justement que l’UMP du 92 apporte toute sa contribution au projet départemental et même national sur toutes les questions. Il peut compter sur mon désir irréductible de contribuer, là où il le jugera utile, aux réflexions concernant les questions sociales, le handicap, la dépendance et le grand-âge.
Ce soir, c’est toute la mesure de la tâche qui nous incombe, nous, militants altoséquanais, que nous devons ressentir ; et il nous faut travailler, rassemblés, déterminés, vers la défense de notre idéal.
S'ils s'affrontaient sur un terrain de rugby, Pierre-Christophe Baguet et Max Guazzini se livreraient sans aucun doute à une explication musclée, plaquages hauts et coups bas au détour d'un regroupement.
Interpellé jeudi soir durant le conseil municipal par Marc Fusina, élu d'opposition (PS), au sujet du probable départ de l’ACBB rugby du stade du Saut-du-Loup dans le bois de Boulogne à la fin de la saison, le député-maire (UMP) de Boulogne-Billancourt a fustigé le président du Stade Français qui, selon lui, prône « le sport paillettes et veut installer ses mercenaires au Saut-du-Loup au détriment des 700 enfants licenciés à l'ACBB rugby ».
Boulogne-Billancourt milite depuis presque trois ans contre le projet de reconstruction du stade Jean-Bouin porté par le voisin parisien. Une guérilla qui a fini par lasser Max Guazzini, comme il le confiait dans l'édition du « Parisien » parue lundi dernier, et sans doute la mairie de Paris. Afin de permettre aux membres de l’ACBB de rester au Saut-du-Loup, les maires de Grand Paris Seine Ouest (GPSO) affirment avoir vainement tenté de garder l'effectif du Stade Français sur les pelouses de Marcel-Bec à Meudon « M. Guazzuni ment quand il dit que je l'ai poussé dehors de Marcel-Bec, assure Pierre-Christophe Baguet. Quatre réunions techniques ont eu lieu en 2009 et 2010 avec les représentants du Stade Français. Nous avons donné notre accord à M. Guazzini pour des créneaux horaires supplémentaires. Nous lui avons même promis de payer les 800 000 i de travaux pour les vestiaires et le bâtiment administratif ». Pourtant, Max Guazzini n'a pas pris part à la réunion du 24 juin à l'hôtel de ville de Boulogne qui devait sceller l'accord Une visite « sans objet et trop tardive » pour le président stadiste. Son équipe avait d'ailleurs déjà repris l'entraînement dix jours plus tôt sur les pelouses refaites à neuf de la Cité universitaire, près du stade Charléty, devenu leur antre en attendant la livraison du nouveau Jean-Bouin en 2013. Le choix du futur locataire du Saut-du-Loup revient maintenant à la mairie de Paris.
« Depuis 2004, on essaie d'avoir des accords avec l'ACBB pour partager le Saut-du-Loup mais ils ont toujours refusé »,assure Max Guazzini. Si la concession de l'infrastructure située dans le bois de Boulogne revient l'an prochain au Stade Français, elle ne servira pas qu'aux dieux du Stade mais à l'ensemble du club. « Par manque d'équipements, nous refusons chaque année des centaines de jeunes, regrette Max Guazzini. Beaucoup rejoignent d'ailleurs l’ACBB ».
Jérôme Bernatas
