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Sur le blog de l'UMP de Boulogne-Billancourt

 

Inauguration du Trapèze Ouest sur les ex-terrains Renault

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Déplacement de HANDI POP' à Saint Quentin

Nous étions le week-end dernier en déplacement à St Quentin dans l’Aisne pour rencontrer des militants et leur parler de HANDI POP’.

 

Dans ce territoire d’où est issu Xavier BERTRAND (Secrétaire Général de l’UMP), nous avons été reçus d’une admirable façon par Gontran LEFEBVRE, délégué de circonscription.

 

En premier lieu, nous avons échangé avec des militants handicapés de l’UMP locale sur les actions de HANDI POP’ et sur l’actualité politique. Ce fut une discussion à bâtons rompus sur l’emploi des travailleurs handicapés, la sensibilisation des chefs d’entreprises, mais aussi le besoin indispensable de l’accès à de vraies études et formations professionnelles pour s’insérer sur le marché de l’emploi. Nous avons également débattu des responsabilités des collectivités locales, des conseils généraux et des régions sur le thème du handicap. Enfin, nous avons présenté les projets de HANDI POP’ et notre désir de travailler dans la proximité, avec les fédérations et les circonscriptions de toute la France.

 

Après cette réunion, nous sommes allés à la permanence de Xavier Bertrand et avons rencontré des militants de cette circonscription particulièrement dynamique qui organise de nombreux débats thématiques. (Le prochain concernera d’ailleurs la révision de la loi sur la Bioéthique).

 

Enfin, Gontran LEFEBVRE nous a fait parcourir sa belle ville de St QUENTIN et nous a fait visiter l’Hôtel de Ville qui fêtait cette année ses 500ans.

 

Ce fut un déplacement très riche d’échanges et d’enseignements pour HANDI POP’. Les avis du terrain, de la province ont toute leur place dans notre action et c’est pourquoi HANDI POP’ s’est engagé à effectuer ce type de déplacements de plus en plus souvent.

 

Nous remercions chaleureusement Xavier BERTRAND, Gontran LEFEBVRE et les militants UMP de St Quentin pour leur accueil si sympathique, chaleureux et constructif !

Polémique sur Jean Sarkozy et l'EPAD du quartier de La Défense

C’était le samedi 25 octobre dernier, j’intervenais en binôme avec Jean Sarkozy à Clichy sur « la discrimination positive ». En préambule à son intervention, il déclarait à des jeunes aux patronymes maghrébins, à des militants handicapés, à des jeunes issus des « minorités visibles » ceci : « tout comme vous, lorsque je réussirai, je devrai me justifier à cause de mon nom, à cause de ce que je suis ». Juste prémonition qui aujourd’hui veut que Jean, parce qu’il s’appelle Sarkozy, se voit juger sur son nom plutôt que sur ses compétences.

 

On n’est pas nommé à la présidence de l’EPAD (même par l’Elysée) mais on y est élu. Jean Sarkozy n’a pas été nommé conseiller général de son canton à Neuilly mais élu au premier tour par les électeurs. Jean Sarkozy n’a pas été nommé président du groupe UMP au Conseil Général du 92 mais élu par ses collègues.

 

Parlons légitimité maintenant. Y a-t-il un âge particulier pour être légitime ? Y a-t-il des noms à éviter pour être légitime ? La confiance de ses électeurs et celle de ses collègues conseillers généraux ne suffit-elle pas à dessiner un minimum de légitimité ?  Est-ce qu’être président du groupe de la majorité départementale ne constitue pas une certaine légitimité politique pour assumer justement une fonction de représentation politique à la tête de l’aménagement du quartier de la défense ?

 

Ce qui me choque sur ce sujet, c’est que des gens, qui n’ont jamais croisé de prêt ou de loin Jean Sarkozy, mettent en doute ses compétences. Je leur demande très sincèrement : « Que connaissez-vous de ses compétences ? ».

 

Pour le connaître personnellement, je ne vois qu’un jeune homme compétent, formidable orateur, connaissant ses dossiers, n’ayant rien sacrifié à la proximité, impliqué dans le projet du Grand Paris et particulièrement en lien avec les aspirations des élus des Hauts-de-Seine (des plus modestes aux plus illustres).

 

Il y a la politique « des guignols », il y a le journalisme qui survit sur le dos des « polémiques à fabriquer et entretenir pour faire vendre », il y a aussi la lâcheté de cartonner le « fiston » pour contester son père. Je ne tombe pas dans la victimisation, je considère tout simplement que Jean a les meilleures qualités personnelles et les atouts politiques pour assumer avec succès cette fonction.

Dans Le Parisien du 92 aujourd'hui

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