Nicolas SARKOZY au Zénith de paris

Il parait que la jeunesse est forcément de gauche ? Il parait que la jeunesse ne s’intéresse pas à la politique ? Il parait même que la jeunesse n’aime pas  Nicolas SARKOZY ? Si si… C’est les préjugés, les caricatures, les a priori qui le disent… Et pourtant. Et pourtant, j’étais cet après-midi au Zénith de Paris et j’ai vu une jeunesse enthousiaste, une jeunesse venue de toute la France, une jeunesse de toutes les couleurs, une jeunesse grande, petite, grosse, maigre, logorrhéique ou sourde et muette etc… venue porter son témoignage de soutien à Nicolas SARKOZY. 

 

Déroulement des faits : à 10h10, je quitte Boulogne-Billancourt en « Twingo mobile ». 1^er miracle, je roule à plus de 10Km/h sur le périh’ intérieur jusqu’à la porte de pantin. Deuxième miracle : je trouve une place pour me garer à moins de 1000 mètres du Zénith. Troisième miracle : en à peine un quart d’heure, les jeunes UMP de l’IDF rentre dans le parc du Zénith pour aller attendre devant les portes. Le temps de claquer la bise à la géniale Maryline et, 1^ère grosse « tuile », le speaker nous demande de ressortir car les contrôles de sécurité n’ont pas été effectués correctement. 4^ème miracle, je croise Frédéric Bourscale qui gère l’accueil des personnes malentendantes ou à mobilité réduite : OUF !!!  Il me conduit directement dans un Zénith encore complètement vide au premier rang derrière la fosse. J’arrive donc dans le Zénith. Le temps d’échanger quelques mots avec Fabien de Sans-Nicolas ou encore MRY pour lui exposer tous les efforts qu’a fait enfin notre candidat pour accueillir dignement les personnes handicapées  et je file en tribune.

 

Puis enfin, le show commence. Laurent WAUQUIEZ, Linda ASMANI, Fabien de SANS NICOLAS se succèdent à la tribune avant les YAMAKAZI puis c’est Nicolas SARKOZY qui prend la parole. J’ai particulièrement apprécié ce discours. En effet, je suis réceptif aux vers de Baudelaire : «  Ma jeunesse ne fut qu’un ténébreux orage, traversé ça et là par de brillants soleils ».  J’apprécie aussi quand on fait référence à Rimbaud qui déclame « Nuit de juin ! Dix-sept ans ! – on se laisse griser.
La sève est du champagne et vous monte à la tête… ». Mais j’aime aussi  la référence à Guy Môquet :   « J’aurais voulu vivre mais ce que je souhaite de tout mon cœur, c’est que ma mort serve à quelque chose. 17 ans et demi… Ma vie a été courte ! Je n’ai aucun regret si ce n’est de vous quitter tous. Je vous quitte tous en vous embrassant de tout mon cœur d’enfant. ». Bref, un vrai discours à la jeunesse, un vrai discours où l’on parle vrai et où il demanda aux jeunes de rêver, d’espérer, et de tout faire pour être acteur de leur destin.

 

Le travail ne me fait pas peur, j’entends bien m’appuyer sur mon mérite, je sais que j’ai des droits mais aussi et surtout des devoirs et c’est dans cet optique que je compte mener le début de mon engagement politique à Boulogne-Billancourt, la ville que j’aime, et dans mon pays, à la modeste mesure de ce que je peux apporter.

 

 J’ai notamment pu croiser Linda Asmani, Rachida Dati, François Fillon, Brice Hortefeux, Renaud Donnedieu de Vabres (que je rencontre demain), Pierre Lelouche, Françoise de Pannafieu, Philippe Goujon, Basile Boli, Faudel etc…

Ils en parlent (ou ils vont en parler…) Romain Mouton, Maryline, Objectif Handicap, Vincent Ducrey…

 

Voir le discours de Nicolas SARKOZY ICI.

 

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